Effectif 2021 : Valentin Retailleau

Valentin, alias Valou ⤵️

18 juin de l’année 2000, Valentin naquit et se retrouva très vite à Oradour-Sur-Glane. Village, tristement connu de l’histoire française par le massacre perpétré durant la seconde guerre mondiale et qui inscrit ce nom, comme un élément historique d’un passé douloureux de l’année 1944. Depuis, bien des choses se sont vues reconstruites et bien des êtres se sont vus naître, c’est le cas de Valentin.

Valentin, par le simple fait de donner volonté à tout ce qu’il entreprend, caractérise on ne peut mieux ce symbole d’espoir. L’espoir de jours meilleurs. L’espoir de foncer tête baissée sans se retourner sur le passé mais sans pour autant l’oublier. L’espoir de devenir à son tour un espoir et de continuer à s’émouvoir à chaque victoire. 

Armé de sa chevelure blonde et de son sourire d’ange bordé de confiance et d’insouciance, il fait avancer à sa propre échelle l’histoire, l’histoire d’un bonhomme qui s’en est allé vers l’arrivée, pied au plancher. 

Interview à la pancarte 💬

1️⃣ Valentin, que recherches-tu dans la pratique du cyclisme ?🚴🏼‍♂️

Je recherche avant tout beaucoup de plaisir. J’adore le vélo et je le pratique depuis tout petit. C’est un moyen de s’évader. J’ai besoin d’exprimer ma compétitivité et le vélo est super pour ça.

2️⃣ Comment es-tu arrivé dans le monde du vélo ?🚲

Mon père et mes oncles faisaient du vélo donc j’ai rapidement été attiré par ce sport. J’ai commencé en école de cyclisme à l’âge de 5 ou 6 ans et je n’ai jamais arrêté. 

3️⃣ Que fais-tu comme études et qu’est-ce qui t’a attiré dans celles-ci ?📚

Je suis en deuxième année de Bachelor au CESNI. Grâce à la proximité avec le centre et les horaires aménagées c’était pour moi le cursus parfait après mon Bac Professionnel Gestion & Administration.

4️⃣ En quoi penses-tu que CCF va te permettre de progresser ? Qu’est ce qui est différent vis-à-vis des autres clubs ?🔝

Grâce à l’intégralité des services proposés avec, en premier lieu, l’hébergement. Habiter ensemble est un gros point positif pour la cohésion. Ensuite il y’a l’entraînement, la mécanique et pleins d’autres petits services qui font qu’on a tout pour progresser.

La principale différence est notre moyenne d’âge qui doit sûrement être la plus petite des N1. Une autre est la filière AG2R Citroën Team qui donne des perspectives d’avenir. J’arrive dans ma troisième année Espoir et j’ai envie de continuer ma progression, donc bien sûr ça donne envie.

5️⃣ As-tu des objectifs cette saison ?🔎

Oui, poursuivre ma progression et m’exprimer davantage. J’aimerais bien gagner des courses au niveau Élite, ou mieux encore. J’ai déjà passé un palier en 2020 et je veux continuer.

6️⃣ Quel plat déguster en période de coupure ?🍔

Oula, il y’en a beaucoup. J’hésite entre pizza et raclette mais je crois que je vais dire une pizza !

7️⃣ Si tu avais la possibilité de passer une heure avec une célébrité, qui choisirais-tu ?👤

Il y’a beaucoup de monde auquel je pense mais je crois que je choisirais Michael Jordan pour son parcours sportif. C’est un des meilleurs, si ce n’est le meilleur basketteur de tous les temps et c’est un bosseur, j’ai adoré la série à son sujet sur Netflix.

8️⃣ As-tu un rituel d’avant course ?🔄

Ce n’est pas forcément un rituel mais je me prépare souvent de la même manière. J’aime bien analyser le parcours, la météo, l’adversité, etc…

9️⃣ Quel est ton plus beau souvenir sportif ?🤩

Je n’arriverais pas à en citer un plus que les autres, donc je dirais ma saison de Junior 2 en général, j’ai pris énormément de plaisir tout au long de l’année. J’ai notamment eu la chance de participer au Championnats du Monde Juniors à Innsbruck (Autriche). Être pris en Equipe de France pour participer à la course la plus dure du monde c’est beaucoup d’émotion. Le fait d’être entouré de champions, la motivation qui est à son maximum, les très nombreux spectateurs… Toutes ces choses rendent cette expérience particulière.

🔟 As-tu une anecdote à nous raconter ?🗣

Pour ma première sélection en Equipe de France (c’était en junior, en cyclo-cross), je suis tombé au bout de 100 mètres de course et je me suis cassé la clavicule. Bizarrement ça reste quand même un bon souvenir même si c’était un peu rageant car je voulais bien figurer.

1️⃣1️⃣ Comment vis-tu cette crise sanitaire ?🦠

C’est difficile pour tout le monde. Sportivement, on ne peut pas se fixer d’objectifs car on n’est sûr de rien sur la suite. Mais c’est là où nous on a de la chance au centre. On a beaucoup d’aide, des visioconférences, une proximité avec l’entraîneur, et puis on habite et on s’entraîne ensemble donc ça rend la situation plus supportable.

Merci Valentin et bonne saison ! 

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