Ils ont écrit notre histoire : Nicolas Queyranne

Nicolas a couru sous les couleurs de CCF de 2008 à 2010. Après une expérience en magasin de sport à la fin de ses années dans les pelotons amateurs, Nicolas s’est orienté vers le métier de commercial qu’il exerce depuis maintenant quatre ans. Entretien.

Nicolas est aujourd’hui commercial pour un laboratoire pharmaceutique
  • Nicolas, voilà 10 ans que tu as quitté le centre, peux-tu nous raconter ce que tu as fait depuis.

J’ai effectué 2 années à l’AVC Aix-en-Provence en 2011 et 2012 puis j’ai raccroché le vélo. J’ai travaillé dans un magasin de sport 4 ans avant de me lancer en tant que commercial. Je suis responsable secteur d’un laboratoire pharmaceutique depuis 2017. J’ai d’abord travaillé pour un labo qui produisait des compléments alimentaires. Ça m’a fait plaisir de revenir au plus proche du monde du sport puisqu’on avait Pauline Ferrand-Prévot comme ambassadrice. C’était sympa d’être présent sur des épreuves comme le Roc d’Azur. On fournissait également de nombreux clubs de football comme le MHSC, le Nîmes Olympique ou encore l’OGC Nice. La boite s’est arrêtée au début de l’année 2020. Mon métier n’a pas changé mais je bosse maintenant pour un laboratoire extérieur au monde du sport.

  • Et le vélo alors ? Rien depuis fin 2012 ?

Je n’ai jamais recouru en compétition. Je roule toujours un peu pour le plaisir mais je me suis surtout mis au trail, comme nombreux anciens cyclistes j’ai l’impression.

  • Quels souvenirs gardes-tu de CCF ?

De très bons souvenirs. Habiter ensemble est un gros gros avantage pour la cohésion d’équipe. L’ambiance générale était excellente. Nous étions une bande de copains plus que des coéquipiers. Je me rappelle d’une mésaventure que j’avais eu au cours d’un stage lors de ma première année. Nous faisions du ski de fond nocturne et les gars s’étaient mis à sprinter. Étant un peu plus loin je n’ai pas vu qu’ils avaient tourné et je suis allé tout droit. Je me suis retrouvé seul dans le noir en pleine nuit. Aujourd’hui j’en rigole mais c’était pas une partie de plaisir sur le moment même. Ça a duré un petit moment, ils étaient à deux doigts d’appeler les gendarmes.

  • Quels conseils donnerais-tu à la promo actuelle ?

Il faut saisir la chance d’être dans cette structure. Le temps passe vite est c’est une opportunité unique.

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