La Grande Traversée des Alpes – Etape 3

Le départ de la 3e étape a été fait chez notre partenaire Vulco, à Saint-Jean-de-Maurienne.

De Saint-Jean-de-Maurienne à Saint-Paul-d’Ubaye, c’est une nouvelle journée à fort dénivelé qui attendait nos coureurs. Trois cols plus tard, on débriefe la journée avec notre haut-savoyard Thomas Delphis.

“C’était encore de beaux paysages aujourd’hui avec des cols qui passaient au dessus des 2000m d’altitude. On a pu profiter de la chaleur et des belles vues. Personnellement ce sont des cols que je n’avais jamais fait. Ils sont longs mais c’est plaisant car on peut rouler tranquillement et admirer le paysage.
Je trouve que cette traversée des Alpes est une bonne initiative car ce n’est pas souvent que l’on a le temps de faire ce genre de périple et c’est quelque chose à faire au moins une fois dans sa vie !
Désormais on a passé le plus dur. C’est presque fini et je me sens bien physiquement. Comme tout le monde j’ai hâte de reprendre les courses surtout que je n’ai pas encore couru cette saison. Même si on ne connaît pas encore bien notre calendrier, le championnat de France reste un objectif”.

Etape 4 : La longue descente vers Menton

Mardi, dernière étape et pas des moindre puisqu’il s’agira de parcourir un peu plus de 190 km pour rejoindre Menton au départ de Saint-Paul-d’Ubaye. Présentation avec notre entraîneur Clément Dupuy.

“Ce sera la dernière étape pour rejoindre Menton et après 4 jours bien remplis, on sera pressé de mettre les pieds dans la Méditerranée, photos à l’appui !
Avant cela, il faudra gravir la Bonnette et sa cime la plus haute d’Europe. Après l’Iseran plus haut col d’Europe, nous continuons de tutoyer les sommets. Trois autres cols seront ensuite au programme des coureurs pour rejoindre la mer. La dernière étape n’est pas la plus dure et pour une fois nous aurons plus de dénivelé négatif que de positif. Elle nous permettra de voir qui a su gérer correctement ses efforts autant sur l’hydratation, l’alimentation et l’allure. Je n’ai pas de doute là-dessus. Depuis un moment on arrive à bien gérer les allures en montagne avec un bon travail dans les cols tout en étant raisonné sur le tempo.”

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