Au menu de la semaine, nous avons commandé de la neige à volonté. Une fois n’est pas coutume, il a fallu s’adapter. Bien que nos athlètes ne soient pas en centre de formation de ski mais bien de cyclisme, il a fallu varier les plaisirs. Léo Peters, directeur sportif nous en dit un peu plus sur cette semaine particulière.
On ne le précisera jamais assez mais un des atouts du centre de formation est cette capacité d’adaptation permanente à l’environnement extérieur, que ce soit au niveau de la crise sanitaire ou des conditions météorologiques parfois capricieuses. Cette semaine illustre bien ce phénomène d’adaptabilité, la preuve en images et en mots par le directeur sportif, Léo Peters.
“À cette période, il faut avoir la souplesse de modifier et intercaler les séances avec intelligence sans s’enfermer dans des cases. À ce niveau, c’est une chance pour nous que d’avoir un accès aussi proche aux stations de ski de fond; et comme leur a rappelé à très juste titre Loïc lors de la réunion collégiale de jeudi soir : 2h de ski de fond en janvier à la place des 4h de route prévus initialement, n’empêcheront personne d’être performants, une fois la saison venue. Gardons en tête que les championnats nationaux arrivent fin juin, et les championnats du monde et d’Europe fin septembre.” souligne Léo Peters.
Ces propos illustrent bien le fait qu’en hiver les conditions ne correspondent pas toujours exactement avec le plan d’entrainement prévu. Par conséquent, une sortie route collective peut se transformer en ski de fond ou peu s’écourter.
Nous avons aussi pu voir que des coureurs avaient pu faire des séances particulières. C’est le cas par exemple de Thomas Delphis au vélodrome de Saint Quentin en Yvelines.
Thomas a aussi pu se voir offrir un brushing plutôt décoiffant lors d’une séance en soufflerie pour optimiser ses positions face au vent.
À noter aussi l’arrivée, ce samedi 16 janvier, de notre coureur en provenance d’Italie, Fabio Malucchi.