18 juin de l’année 2000, Valentin naquit et se retrouva très vite à Oradour-Sur-Glane. Village, tristement connu de l’histoire française par le massacre perpétré durant la seconde guerre mondiale et qui inscrit ce nom, comme un élément historique d’un passé douloureux de l’année 1944. Depuis, bien des choses se sont vues reconstruites et bien des êtres se sont vus naître, c’est le cas de Valentin.
Sir Henry Lawton, couronné chevalier de la “cuisse lactique”. Notre chevalier ne connaît pourtant pas bien le trot, il a directement appris le galop.
Thomas c’est le doyen, c’est le parrain, l’homme avec les clés en main. Les clés du train à grande vitesse prêt à dépasser le mur du son avec son orchestre à l’unisson.
Matéo ? C’est la force tranquille, il ne fait pas de bruit mais quand il s’agira de s’activer ou se sacrifier pour le maillot, nul doute que vous ne pourrez le rater, parce qu’un moteur V8, ça ne vous laisse pas inattentif.
Valentin, originaire de Haute Savoie est né avec une gourde en guise de biberon, ses premiers pas ont été ceux pour aller chercher le vélo au garage et ses premiers mots furent “Shimano Ultegra”.
Baptiste, alias Titou ⤵️
Titou ? Il nous vient tout droit de la région bordelaise. Tombé dans la marmite de Saint Emilion étant petit, il se retrouva très vite doté de bonnes capacités physiques à l’image d'Obélix mais avec un gabarit semblable à Astérix.
Victorieux sur la 3e étape de la Ronde de l'Isard (UCI 2.2U), Valentin Paret-Peintre a confirmé tout le bien que l'on pensait de lui. A 19 ans, il promet déjà de belles choses pour la suite. Entretien.
Pendant le confinement, nos coureurs ne sont pas restés inactifs. Comme Antoine Raugel, notre normand Simon […]